Ronnie
Évidemment, les 5 étoiles sont amplement méritées, et c’est même peu payé pour le travail extraordinaire fourni par Boris !
Ronnie a rejoint notre famille depuis une semaine, mais nous avons appris à la connaître depuis sa naissance, il y a 11 semaines, grâce à Boris, qui partage avec nous chaque jour les moments de vie de la fratrie avec leur maman et même les autres chiens de la meute.
Nous avons eu des chiens par le passé, avec des histoires différentes. C’est la première fois que je fais la démarche de prendre un chiot chez un éleveur. Je redoutais certains points que l’on peut entendre sur les conditions d’élevage opaques. J’ai donc pris le temps de faire des recherches, et les kilomètres parcourus pour aller jusqu’en Normandie sont tout à fait justifiés. Je comprends que certains viennent même de l’autre bout de la France, de Belgique ou des Pays-Bas !
Avec Boris, il n’y aura pas d’adoption impulsive et irréfléchie. Il nous embarque dans un processus de réflexion sérieux, irréprochable, avec des visites aux phases clés du développement du chiot. Il exerce ce métier par passion et va bien au-delà des obligations, avec des choix éthiques stricts.
- Taux de consanguinité quasi nul. Ce n’est pas juste une question de principe, c’est une question de santé. Pour des raisons esthétiques, les éleveurs ne sont pas toujours très scrupuleux, d’autant plus que le LOF autorise 12,5 %. Eh oui… hélas. Cela entraîne des maladies graves. Nous l’avons vécu avec notre précédent chien, que nous avons adopté un peu « sur un coup de tête », par naïveté : un bouledogue français, qui a eu de nombreux soucis propres à sa race, donc liés à la consanguinité, que nous avons soignés au maximum de ce que nous pouvions — dont, entre autres, trois opérations lourdes et bien plus onéreuses que le prix d’adoption. Les avis Google de l’élevage dont il venait reflétaient un manque d’éthique, avec beaucoup de problèmes de santé graves précoces.
Boris est amoureux des Border Terriers, comme nous, mais il veut avant tout qu’ils aillent bien. C’est le pilier de son élevage ! Il en parle bien sur son site et vous donnera plus d’informations si vous souhaitez en savoir davantage. Et il garantit l’absence de maladies héréditaires propres à la race : ses chiens reproducteurs sont tous testés négatifs sur la maladie SLEM. - Pas d’exploitation de ses animaux, qu’il élève avec amour. Jamais plus d’une portée à la fois, et les chiennes partent « à la retraite », c’est-à-dire sont adoptées par des familles à 6 ans voire moins (la loi, elle, est de 9 ans !), et les mâles à 5 ans en général. Dans la meute de Boris, ils bénéficient d’un cadre aussi affectueux et confortable que celui que n’importe qui souhaite offrir en adoptant un animal : grand jardin clôturé, alimentation très saine, friandises, soirées canapé… Regardez donc son compte Instagram pour les suivre !
- Des visites importantes et obligatoires aux stades donnés du développement des chiots, pour leur permettre d’être le moins stressés possible le jour où ils rejoignent nos foyers. Ils ont eu le temps de s’imprégner de notre odeur et sont très sociables à leur arrivée.
Et la cerise sur le gâteau : les chiots arrivent avec déjà plein de choses très bien mises en route !
Propreté la nuit, apprentissage de la solitude dans leur petit box avec leur odeur qui les rassure — on a eu 5 minutes de pleurs le premier jour, vite calmées après l’avoir rassurée, et plus rien du tout les nuits suivantes ; marche en laisse et rappel avec le prénom qu’on choisit librement, initiation à la sociabilisation avec des visites fréquentes dans l’élevage…
Quand on adopte un animal, il va nous accompagner pendant de nombreuses années et on va tisser un lien particulier. C’est donc primordial qu’il ait grandi dans les meilleures conditions possibles. C’est justement tout ce travail engagé et passionné que Boris exerce qui le rend si particulier. Nous sommes très heureux !